Publications et travaux de recherche
2023
Jeannerod, Marc; Goffette, Jérôme; Fanton, Laurent; Moutel, Grégoire
Dignity of the deceased and intervention. A conceptual analysis and basis for ethical reflection Article de journal
Dans: Droit, Santé et Société, vol. 3, no. 3, p. 49-54, 2023.
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@article{Jeannerod2023b,
title = {Dignity of the deceased and intervention. A conceptual analysis and basis for ethical reflection},
author = {Marc Jeannerod and Jérôme Goffette and Laurent Fanton and Grégoire Moutel},
doi = {10.3917/dsso.103.0049},
year = {2023},
date = {2023-09-01},
urldate = {2023-09-01},
journal = {Droit, Santé et Société},
volume = {3},
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pages = {49-54},
abstract = {Pour que son statut d’être humain soit reconnu et que sa dignité ontologique soit respectée, le défunt doit bénéficier d’un rituel d’adieu. Pendant la période qui précède ce rituel, le "corps" peut faire l’objet de certaines interventions médicales : prélèvement d’organes, don du corps, autopsie, etc. Cela peut conduire à négliger l’unicité inhérente à l’individu. Le risque est grand que la personne décédée soit traitée comme une "chose". Le corps mort est vulnérable et doit être protégé. Il est donc essentiel de définir des bonnes pratiques basées sur la considération qui doit être accordée. Il s’agit de reconnaître la valeur spécifique de chaque personne décédée, de respecter son libre arbitre et ses dernières volontés dans la mesure du possible. Toute dégradation physique étrangère doit être exclue. Cet effort supplémentaire demandé à ceux qui sont confrontés à la mort dans le cadre de leur travail n’est ni évident ni instinctif. Pour que la pratique médicale prenne en compte la personne décédée, les professionnels concernés ont besoin d’être accompagnés et soutenus. S’ils bénéficient eux-mêmes des soins et de l’attention nécessaires ainsi que d’un environnement de travail adéquat, ils seront en mesure de respecter leur prochain dans la mort et de « ne pas nuire ».},
keywords = {Médecine légale, Philosophie},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
2017
Housset, Emmanuel
Les paradoxes du sentiment dans la finitude de l’action Article de journal
Dans: Ethique & Santé, vol. 14, no. 2, p. 112-117, 2017.
Résumé | Liens | BibTeX | Étiquettes: Philosophie
@article{Housset2017,
title = {Les paradoxes du sentiment dans la finitude de l’action},
author = {Emmanuel Housset },
url = {https://hal-normandie-univ.archives-ouvertes.fr/hal-02147464},
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year = {2017},
date = {2017-01-19},
urldate = {2017-01-19},
journal = {Ethique & Santé},
volume = {14},
number = {2},
pages = {112-117},
abstract = {Le sentiment est nécessaire à l’action morale et à l’action médicale. Sans lui l’action n’est pas une relation de personne à personne. Il est important de déterminer quelle est alors la place exacte du sentiment dans l’accomplissement de son devoir. Le sentiment donne le sens de l’obligation, mais la raison pratique détermine ce qu’il faut faire dans la contingence de l’action.},
keywords = {Philosophie},
pubstate = {published},
tppubtype = {article}
}
0000
Jeannerod, Marc; Goffette, Jérôme; Fanton, Laurent; Moutel, Grégoire
Dignity of the deceased and intervention. A conceptual analysis and basis for ethical reflection Article de journal
Dans: Droit, Santé et Société, vol. 3, no. 3, p. 49-54, 0000.
Résumé | Liens | BibTeX | Étiquettes: Médecine légale, Philosophie, Place de l'éthique dans le soin
@article{Jeannerod2023,
title = {Dignity of the deceased and intervention. A conceptual analysis and basis for ethical reflection},
author = {Marc Jeannerod and Jérôme Goffette and Laurent Fanton and Grégoire Moutel},
doi = {10.3917/dsso.103.0049},
journal = {Droit, Santé et Société},
volume = {3},
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pages = {49-54},
abstract = {Pour que son statut d’être humain soit reconnu et que sa dignité ontologique soit respectée, le défunt doit bénéficier d’un rituel d’adieu. Pendant la période qui précède ce rituel, le "corps" peut faire l’objet de certaines interventions médicales : prélèvement d’organes, don du corps, autopsie, etc. Cela peut conduire à négliger l’unicité inhérente à l’individu. Le risque est grand que la personne décédée soit traitée comme une "chose". Le corps mort est vulnérable et doit être protégé. Il est donc essentiel de définir des bonnes pratiques basées sur la considération qui doit être accordée. Il s’agit de reconnaître la valeur spécifique de chaque personne décédée, de respecter son libre arbitre et ses dernières volontés dans la mesure du possible. Toute dégradation physique étrangère doit être exclue. Cet effort supplémentaire demandé à ceux qui sont confrontés à la mort dans le cadre de leur travail n’est ni évident ni instinctif. Pour que la pratique médicale prenne en compte la personne décédée, les professionnels concernés ont besoin d’être accompagnés et soutenus. S’ils bénéficient eux-mêmes des soins et de l’attention nécessaires ainsi que d’un environnement de travail adéquat, ils seront en mesure de respecter leur prochain dans la mort et de « ne pas nuire ».},
keywords = {Médecine légale, Philosophie, Place de l'éthique dans le soin},
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